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Conclusion

  • malctpe
  • 14 févr. 2017
  • 1 min de lecture

Avant d’imprimer un objet, il faut le modéliser à partir d'un logiciel de modélisation tridimensionnelle en utilisant pour la plupart du temps la modélisation polygonale, avant de l'exporter sous forme de fichier StL. Ce fichier contient l'objet, dont les faces sont décomposées en triangles. Cet objet est ensuite «découpé» par le logiciel appelé slicer qui envoie toutes les informations nécessaire à l'impression à l'imprimante.


L'impression 3D est basée sur différentes techniques, qui peuvent être globalement différenciées par le procédé chimique utilisé : la photo-polymérisation ou la fusion. La première technique d'impression 3D de l'histoire et la principale à utiliser la photo-polymérisation est la stéréolithographie. La technique la plus répandue utilisant la fusion est la FDM. De nombreuses améliorations ont été apportées à ces techniques de bases afin de les améliorer et des les adapter aux besoins de l'utilisateur. De nouvelles techniques offrant par exemple un temps d'impression réduit ou une meilleure qualité d'impression apparaissent régulièrement.


Ces avancées techniques permettront de rendre l'impression 3D plus performante dans certains domaines comme l'architecture, la médecine, l'automobile, la mode et le cinéma. En effet, il est déjà possible d'imprimer en 3D de façon plus précise et plus efficace. C'est donc une technologie en constante évolution qui devrait s'ancrer dans notre société. Elle représente donc bien un pas vers le futur.

 
 
 

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Nous remercions Monsieur Moreel et Monsieur Broquet, qui nous ont guidés et encadrés pendant six mois durant les séances de recherches. Leurs conseils nous ont été très utiles.

Nous remercions l’entreprise Dagoma, basée à Roubaix, qui nous a permis de visiter son usine et d’acquérir une imprimante 3D.

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Ce projet, réalisé dans le cadre d'un TPE, a été mené par Aurélien Manté, Margaux Pettenati, Laurine Rault et Clara Thuru, élèves de 1ère S1 au lycée Wallon de Valenciennes.

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